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VIVRE MIEUX ENSEMBLE

6 février 2008

VOLET 4: SPORT-LOGEMENT-CENTRE SOCIAL-ECOLE

SPORT

          Le sport se pratique souvent dans un cadre intercommunal. Le centre social encadre de            nombreuses activités (gymnastique, danse…). La fréquentation d’enfants et adultes d’autres communes a permis de justifier la présence d’un intervenant. La réciprocité permet aux Roussillonnais de pratiquer d’autres activités, dans d’autres villages. Notre équipe de football est une synergie Roussillon - Goult. Grâce à une bonne entente, un climat de grande camaraderie, notre club, joue à un très haut niveau et les jeunes ne sont pas oubliés. Un grand coup de chapeau à toutes les initiatives et dévouement des            dirigeants !

          Le boulodrome est un lieu de rencontres important et très convivial, les vestiaires et buvettes du stade doivent être agrandis et rénovés.

          Afin de développer d’autres activités de plein air, il faut acquérir de nouveaux terrains. L’IGN ? Nous avons cette volonté.

Voici les projets proposés :

          -  Création d’une aire de jeux et d’un terrain multisports (tennis, basket…)

          -  Création d’aires de pique-nique + parcours de détente.

LOGEMENT

Roussillon doit aujourd’hui faire face à 2 problèmes majeurs :

          - Le prix de l’immobilier élevé, dissuade une grande majorité de familles à s’installer de manière durable sur notre commune.

          - Les opérations immobilières spéculatives à forte concentration d’habitations sur un minimum de surface.

Nos idées :

          -  La municipalité doit développer une politique foncière ambitieuse pour permettre l’implantation durable de nouvelles familles à Roussillon.

          -  Garder la maîtrise des extensions dans les hameaux afin de préserver notre patrimoine architectural et naturel. Dans cet esprit : Nous pourrions proposer à la propriétaire du terrain des Yves, de vendre son bien à la municipalité plutôt qu’au promoteur  immobilier,  en vue d’y implanter, par exemple, 6 à 8 logements (en accession à la propriété) contre  21 logements locatifs prévus initialement par le projet de « Provence développement ».

CENTRE SOCIAL

          Il est aujourd’hui une des compétences de la communauté de communes. La charge financière est mieux répartie. A sa création, la commune de Roussillon s’est engagée pour accueillir la structure     administrative. Nous devons aujourd’hui au sein de la communauté revoir l’implantation et la charge de la mise à disposition des locaux. Lou Pasquié est investi dans les problèmes de dépendances de nos anciens  (repas, déplacement). Nous devons l’encourager dans cette voie. Il a bien réussi dans les activités jeunesse (accueil péri et post scolaire). Celles qui vous sont proposées pendant les vacances sont variées, bien ciblées en fonction de l’âge des enfants. A poursuivre…

Lors de la rencontre avec les différents présidents des associations roussillonnaises, il est ressorti que la principale requête était le besoin d’avoir un lieu de réunion.

Sont retenues comme idées :

          -  Donner la gestion de la salle des fêtes à la municipalité.

          -  Créer une Maison des Associations dans les locaux de l’ancienne mairie.

ÉCOLE

          L’école répond aux besoins de la commune, il reste cependant quelques ombres au tableau    (problème de parking, dangerosité dans le virage). De plus, la cour est entièrement goudronnée et n’a pas d’aire de jeux.

Les projets proposés :

          - Envisager un futur aménagement des locaux de l’IGN (après rachat de ces derniers)

          - Aménagement de la cour de récréation, avec des aires de jeux, surtout pour la maternelle.

          - Participer au programme : « De la ferme à ta cantine » proposé par la Chambre d’Agriculture dans le cadre de l’association « Bienvenue à la ferme ».

          -  Tout mettre en œuvre pour s’orienter vers une cantine Bio et vers des produits fermiers, de saison si possible en collaboration avec le « collectif des agriculteurs du parc du Luberon ».

          - S’orienter vers l’utilisation de produits écologiques pour l’entretien des locaux communaux.

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6 février 2008

VOLET 3 POLITIQUE CULTURELLE

• La culture ne peut pas être séparée de l’ensemble de la politique d’une municipalité, elle fait partie d’un tout. C’est en ce sens que nous voulons nous démarquer des autres listes en présence.

          • En effet, la culture est un bien individuel et commun à tous, elle est la somme de toutes les        connaissances, innées ou acquises qui nous construisent en tant qu’individu . C’est pourquoi nous voulons privilégier une « culture de tous » plutôt qu’une culture « pour tous ».

          • La culture ne s’adresse pas seulement à un petit nombre de privilégiés, comme on a trop  souvent tendance à le penser, elle est accessible à tous, aux travers de nos diversités, de nos opinions, de nos choix. C’est un bien commun, pour peu qu’on ait la volonté et le désir de penser ensemble. C’est pourquoi nous voulons mettre la culture, l’art et la création, au cœur de notre village.

          • Nous avons tous en nous des connaissances ignorées, ce qui nous amène a penser que l’on ne sait pas. Or ces connaissances enfouies, inexplorées, nous nourrissent en permanence et nous font ce que nous sommes.    

          • A partir de ce constat, nous voulons que l’appréhension, la perception et l’apprentissage de cette culture commune se fasse dès l’école. En liaison avec les enseignants nous voulons faire découvrir à nos enfants la musique, la peinture, le théâtre, la littérature, la danse, la sculpture, en proposant des rencontres avec des artistes et des créateurs qui seront invités par la municipalité et viendront parler de leurs expériences et de leur travail à nos enfants.

• Nous voulons créer une structure de proximité regroupant toutes les associations au sein d’une « maison des associations » qui sera un lieu d’échanges et de propositions pour les Roussillonnais. L’ancienne mairie pourrait être le lieu qui correspond à cette proposition.

          • Nous voulons mettre en place des rendez vous culturels réguliers, environ un par mois, (danse, théâtre, conférences, expositions, cinéma, musique, ...) pour installer une animation permanente, tout au long de l’année, afin de permettre aux Roussillonnais de découvrir toutes formes d’expression artistique et culturelle. Même si nous portons tous en nous un potentiel de créativité, on n’en a pas forcément conscience et notre ambition serait de susciter les conditions nécessaires pour que chacun puisse se réaliser au travers de ces pratiques culturelles.

          • C’est pourquoi il nous semble intéressant de susciter la parole des anciens afin de remémorer et de parfaire l’histoire de notre village, des traditions passées, de notre culture régionale, à travers des causeries et des échanges.   

          • Nous voulons pérenniser et rendre fonctionnels les lieux existants qui servent actuellement aux diverses manifestations culturelles de notre village. (Fontaine des Naïades, bassins d’ocre de Péquincan, Place de la mairie, école, Médiathèque…) au travers d’une concertation avec les utilisateurs et les habitants, afin que l’utilisation de ces biens se fassent dans les meilleures conditions possibles.

          • Nous voulons avoir des relations privilégiées et constructives avec les structures et associations existantes. Nous souhaitons travailler avec elles, afin d’améliorer et d’enrichir nos expériences communes, pour le bien de notre village.   

          • Pour avoir une réelle politique culturelle, telle que nous la souhaitons, il est indispensable de donner la parole sur tous ces sujets à nos concitoyens. Qu’ils puissent donner libre cours à l’expression de leur imagination, de leurs désirs, de leurs rêves aux travers de discussions  communes. C’est ainsi que nous pourrons réévaluer le sens du terme « politique », car n’oublions pas que l’étymologie de ce mot est : « organisation de la cité ».

          • En ce sens, car il est nécessaire de donner un sens à nos actes, il est  indispensable que la culture fasse partie intégrante de la politique d’une municipalité : telle est l’une des ambitions de notre équipe.

6 février 2008

VOLET 2 TOURISME ET CIRCULATION

La gestion du tourisme est majeure dans la politique communale. Elle nécessite des infrastructures énormes pour nos 1300 habitants qui doivent accueillir 500 000 personnes chaque année. En 1995, le débat a eu lieu et la politique proposée par Alain DAUMEN a été choisie par une large partie de la  population. La recherche de ressources dans l’implantation de villages de vacances énormes, implantés à côté des Riperts a été rejetée. C’est dans la gestion du patrimoine ocrier et des parkings nécessaires que la commune devait trouver les ressources à l’équipement de l’accueil.

          Le Sentier de l’Ocre a été placé sous surveillance, retracé mis en sécurité, rendu payant. Le Conservatoire a été restauré et mis en affermage à l’association OKHRA.

          Cette gestion a permis d'acheter les terrains pour y aménager les parkings mais aussi d'acquérir le site du Grand Piquebaure que la commune faisait visiter jusque là sans en être propriétaire.

          • Pourquoi ne pas le dire, elle a permis des investissements pour les Roussillonnais : boulodrome, aménagements du stade, création d’une salle polyvalente à l’école, aménagement de l’accueil péri-scolaire, restauration des immeubles Fichou, de la Poste et de la Burlière pour créer 7 logements, 1 boucherie et “relooker” la Poste, réfection du toit nord de l’église, sécurisation du “Sermonde”, du Sentier des Ocres, création d’un distributeur de billets, l’aménagement d’un cabinet  médical et le logement du médecin dans le bâtiment de la Tarasque, sans compter l’acquisition de  l’immeuble Serre qui nous permet de posséder une mairie et une médiathèque à la hauteur esthétique et fonctionnelle. A celà s’ajoute quantité de petits aménagements pour faciliter la vie quotidienne.       

          Aujourd’hui, la commune a remboursé toutes les dettes antérieures à 1995 et a pu équilibrer tous les budgets annexes : logements, parkings, boucherie, Conservatoire.

          Nous poursuivrons cette politique qui rassure le contribuable roussillonnais. Les taux d’imposition n’ont pas varié depuis 1995 avec une petite baisse sur le foncier non-bâti.

          Nous avons constaté que la mécanisation et l’absence d’agents dans les parkings ont      déshumanisé l’accueil.

          • Ils sont nécessaires pour régler les problèmes des roussillonnais et des clients venus des communes voisines qui fréquentent la boucherie, la boulangerie, les épiceries, la pharmacie, la poste, les cabinets médicaux, la Mairie, le Centre Social. Tout ce tissu commercial et social est important pour l’animation de notre village surtout en périodes creuses du tourisme. Chacun doit pouvoir l’approcher même en période estivale.

          Dans le souci d’humaniser l’accueil des roussillonnais et nos amis des villages environnants, la   nouvelle équipe souhaite, la présence d’agents qui faciliteront les petits problèmes d’orientation et de   stationnement. Les parkings seront gratuits à partir de 19 heures et le jeudi matin jour de marché. Le Sentier des Ocres restera ouvert toute l’année. L’hiver, la fréquentation n’est pas aussi nulle que l’on peut le croire; les fêtes de Noël l’ont prouvée cette année.

          • Les commerces et unités d’accueil qui ont une activité permanente ont besoin de reconnaissance.

          Nous ne reviendrons pas sur le nouveau contrat d’affermage qui lie la Commune et la Société Coopérative d’Intérêt Collectif gèrant le Conservatoire. Il a fait l’objet, dans une plaquette municipale, d’un rappel historique de la restauration du conservatoire entreprise en 1995 à l’initiative de la Commune qui a adhéré au projet des époux Barrois. Nous leur rendons hommage pour la passion qu’ils ont mise dans cette aventure et nous leur faisons confiance pour le projet qui s’annonce. L’agrandissement de l’usine Mathieu et l’aménagement du Vallon de Péquincan doivent être accueillis avec enthousiasme. Les craintes soulevées par un groupe de Roussillonnais sur le volet financier sont infondées. Les contribuables n’auront pas à mettre un centime dans l’opération. Faisons le    compte : le projet est évalué à 1.500.000 euros, la commune est s’engagée pour 20% soit  300.000 euros qu’elle doit emprunter (budget annexe oblige). Si on prend en compte la période de 20 ans du contrat d’affermage, la commune recevra 5% du chiffre d’affaires de la Coopérative. Le chiffre d’affaires est aujourd’hui de 1.200.000 euros.

Même si ce chiffre restait à ce niveau, la commune percevrait (60.000 euros x 20) = 1.200.000 euros. Avouez que la marge est grande, elle laisse la possibilité de faire face aux intérêts et également à la remise aux normes sécuritaires et écologiques éventuellement nécessaire à l’ancien bâtiment. D’ailleurs, ces normes donnent droit à des aides. Le Conservatoire est une pièce majeure de notre patrimoine. Nous avons une longueur d’avance sur les autres communes ocrières, nous devons la conserver. Ne redoutons pas les projets des autres communes. Elles ont droit, elles aussi, au développement. Qui peut penser qu’un touriste qui visite les mines de Gargas ne viendra pas voir notre beau village et son Sentier des Ocres ? Roussillon restera le fleuron du Pays d’Apt.

          Notre Office de Tourisme est géré par des bénévoles dans le cadre associatif de la loi de 1901. Ils donnent beaucoup de leur temps pour faire tourner une structure essentielle aux acteurs du tourisme. C’est la commune qui fournit l’essentiel des ressources financières du fonctionnement. En 1995, l’aide communale sous forme de reversement des taxes de séjours et subvention était de 95.000 Francs  (14.000 euros). Treize ans après, l’aide à été triplée à 45.000 euros.

Ne serait-il pas plus sage de municipaliser cette structure ? Elle pourrait être dirigée par une commission municipale composée d’élus et de représentants des acteurs du tourisme.

          Cette formule apporterait de la flexibilité dans la gestion du personnel pour assurer une ouverture maximale de l’OSTI dans les périodes de forte affluence.

6 février 2008

VOLET 1 URBANISME

Notre village est aujourd’hui doté d’un réseau d’assainissement entièrement rénové.

-           Il faut maintenant établir un plan de réfection définitive des rues abîmées par les travaux.

  En outre le service « de la balayeuse intercommunale » n’est que partiellement efficace car trop épisodique.

-           Le matériel doit être réétudié pour assurer le nettoyage des rues de nos villages touristiques.

      Roussillon est l’un des plus beaux villages de France, un titre qui mérite d’être défendu à travers une meilleure présentation et un fleurissement plus important des rues et places de la commune.

-  le mur de soutènement du quartier de l’église, en surplomb de la place Camille Mathieu doit être consolidé et restauré.

-  La signalétique malgré la dénomination de tous les chemins est à compléter. Les quartiers urbanisés ont besoin d’un numérotage.

Nous avons pris du retard dans l’aménagement des hameaux. Rien ne pouvait être fait avant l’installation des réseaux d’assainissement c’est ce que fait la Commune de Gargas.

Elle avait beaucoup d’avance sur nous en matière d’assainissement !

- Dans les hameaux la voirie, l’aménagement des placettes, l’agencement d’espaces réservés au tri sélectifs, d’espace de jeu pour les enfants peuvent être installés après une concertation avec les habitants

Assainissement

Les Maires ont le devoir de fournir de l’eau saine à tous les citoyens à un prix raisonnable. Pour cela, il faut d’abord que l’eau utilisée soit rendue propre à la nature. Le bassin durancien qui fournit l’eau à Roussillon est un des plus sain de France.

-   Sachons le conserver et même l’améliorer pour nos générations futures.

Depuis 1993, le travail accomplit en matière d’assainissement est exemplaire. Les bulletins municipaux vous ont informé de tous les programmes achevés et à venir.

Bien entendu, nous gardons en mémoire la bataille conduite avec les services de l’Etat pour que le système d’épuration par lit planté de roseaux soit expérimenté à Roussillon. Tout le monde, connaît l’efficacité et la reconnaissance de ce procédé.

Roussillon rend à la nature une eau épurée à 98% des normes règlementaires.

Le vrai problème de l’assainissement reste son financement. Il se fait sur un budget autonome qui prend en compte les investissements et le fonctionnement.

Les investissements sont alimentés par les subventions de l’Etat, du Département, de l’agence de l’eau à 80% jusqu’en 2002, à 60% depuis 2002. Le complément est obligatoirement financé par emprunt car, en 1995, il n’y avait aucune réserve sur ce budget qui est, de par la loi, équilibré par la redevance payée par les abonnés.

La Commune n’ayant pas le droit d’équilibrer ce budget avec le budget général, elle doit emprunter à long terme pour éviter que tous ces travaux qui lui sont imposés par la Loi, l’oblige à emprunter brutalement le prix du m2 d’eau assainie.

Un dernier effort reste à accomplir dans les zones urbaines (hameaux) identifiés par le P.L.U.

-           La station des Huguets est notre priorité, le projet est déjà sur les rails.

-           Les Ripperts (réseau et station) ainsi que l’équipement d’un autre petit hameau sont au programme du mandat qui s’annonce.

Bien entendu, nous aurons le devoir d’établir les projets dans toutes les autres zones soumises à l’assainissement public (terrain et tracé des réseaux).

Environnement

Le P.L.U. actuel a vu le jour en 1995 pour contrer des projets d’envergures (au hameau des Ripperts) qui auraient conduit Roussillon vers un tourisme de masse. L’élection d’Alain Daumen s’est faite sur ce sujet après un débat sérieux.

Mais le PLU est aussi le reflet de la mise en application de lois imposées aux communes quant à la gestion de périmètres protégés (massif ocrier, zones boisées à risque d’incendies, zones inondables, zones impropres à l’assainissement autonome).

L’urbanisation n’est légalement autorisée que dans les zones déjà partiellement urbanisées et par élargissement des zones urbaines existantes.

Ceux qui rêvent de retourner au mitage du paysage se trompent car après les Grenelles de l’environnement, la Loi ne reviendra pas en arrière, au contraire !

Nous serons fidèles à cette conception de l’aménagement du territoire.

-           Des modifications partielles peuvent cependant être envisagées si un équipement public était rendu nécessaire ou souhaité par la population.

Nous sommes attachés à nos paysages insolites, nous voulons les protéger des incendies, des gros projets immobiliers pour résidences secondaires.

Le travail entreprit par les particuliers dans le débroussaillement et l’entretien des terrains à risques a été exemplaire. La surveillance opérée par le C.C.F.F. a été efficace. Les alertes n’ont pas manqués mais la vigilance a évité les incendies de grande ampleur. Ce travail bénévole est un acte civique qui force le respect et nous met dans l’obligation de fournir un matériel performant et une reconnaissance permanente.

-  La D.I.R.E.N. sera sollicitée pour qu’elle programme des travaux d’entretiens, de sécurisation et de valorisation dans le massif ocrier.

28 janvier 2008

PROGRAMME

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28 janvier 2008

GENEVIEVE WACHOWIAK

SANY009358 ans
Fonctionnaire des collectivités territoriales
Originaire du Nord de la France, je vis à Roussillon depuis 1992 et
travaille à la Mairie d'Apt dans les services administratifs.
Mes engagements et mes objectifs : protéger, gérer, réaliser et valoriser
Dégagée de tout intérêt personnel, je suis très sensible aux injustices, à
la défense de l'environnement et à la sauvegarde de notre patrimoine
communal."

28 janvier 2008

JEAN-CLAUDE CAPARROS

JEAN_CLAUDENé en 1943 à Oran. « J’habite à Roussillon, j’ai effectué la plus grosse partie de ma carrière dans la distribution alimentaire, et je travaille actuellement dans une entreprise de maçonnerie. Je suis passionné d’architecture en général et plus particulièrement d’architecture provençale. Je pense que je peux être utile à la Commune, et œuvrer pour la conservation de notre patrimoine. » 

28 janvier 2008

HENRI VART

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Comédien, directeur de production puis producteur de films de cinéma, téléfilms et séries pour la télévision. Il a côtoyé les plus grands tels que Bertrand Blier, Jean Pierre Blanc, André Cayatte, Bertrand Tavernier, Philippe de Broca, ou encore Robert Hossein dont il a dirigé les productions de grands spectacles ( De Gaulle ,Jésus, Bonaparte, On achève bien les chevaux, etc. ).

« Installé à Roussillon depuis 1989, je suis aujourd’hui à la retraite. Je suis président de l’association « La maison Samuel Beckett. Cette liste s’inscrit pour moi dans une continuité municipale, avec une vision d’avenir pour notre commune, sans notion de revanches ou rancoeurs. C’est pourquoi j’insisterai toujours sur la notion de sens à donner à une politique municipale, surtout au niveau culturel. L’action me paraît plus intéressante que les discours ».   

28 janvier 2008

LAURENT DEYMONAZ

LAURENT

38 ans, marié, 2 enfants de 10 (Julie) et 12 ans (Théo)

De formation biochimiste, cadre dans l'industrie pharmaceutique de 1993 à 2000. Commerçant (galerie d'art) à ROUSSILLON depuis 2000.

Secrétaire de l'association des commerçants de Roussillon.

Très sensible à l'image que les habitants et les touristes peuvent avoir du village de Roussillon en terme d'accueil (infrastructures, propreté des rues, qualité des commerces). "Ce sont nous les commerçants qui accueillons, chaque jour, les visiteurs et nous devons avoir un comportement exemplaire. J’aimerais améliorer la communication entre les commerçants et la municipalité.

Je pratique le tennis en compétition, la course à pied et le VTT. Le sport est un facteur de cohésion sociale et d'épanouissement, et là encore nous pouvons améliorer les équipements sportifs quasi inexistants à Roussillon (tennis, aire de jeux pour les enfants, terrains multisports) ».

Le tourisme est un atout majeur pour notre village qui permet de maintenir l'activité de l'école, du centre social, de la poste, des commerces. Une maîtrise intelligente et raisonnable des flux touristiques qui peut cohabiter avec le respect des traditions et de la vie de village, couplée à des infrastructures qui permettront au Roussillonnais de se retrouver et de vivre en harmonie, permettra peut être à nos enfants, de plus tard, travailler et résider dans notre magnifique village.

28 janvier 2008

VINCENT GIROD

     VINCENT_GIROD  Né le 12 octobre 1968 à Orange. Je suis marié et père de 2 enfants.
Issu de parents agriculteurs, j'ai suivi leurs traces et ai créé en 2003 un Domaine Viticole sur la commune de Roussillon.
Je souhaite m'investir au sein de la commune pour apporter mes connaissances sur le monde rural.

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